La vie meilleure, mode d'emploi
In Courrier international. Hors-série, 029 (10/2009), 90 p Préserver la planète pour les générations suivantes, partager les ressources, choisir au quotidien de nêtre ni maître ni esclave, comme le suggérait le poète Khalil Gibran, cest possible. Cest ce dont témoignent une multitude dinitiatives individuelles et collectives menées aux quatre coins du monde, dont la presse internationale se fait lécho. Partout des femmes et des hommes réinventent leur vie, transforment leur quartier, renoncent à la voiture ou en restreignent lusage, consomment autrement, travaillent moins et différemment. Et pas seulement parce quils y sont contraints par la récession. Cette crise de plus saccompagne dune prise de conscience. La parole, les idées, semblent libérées, comme le montrent des intellectuels tels que lAméricain Amitai Etzioni ou le Philippin Walden Bello. Et la solidarité, la gentillesse et la lenteur retrouvent toute leur place après avoir été reléguées au rang de niaiseries par des décennies dindividualisme forcené. Cet élan est-il voué à rester marginal ou annonce-t-il un changement en profondeur ? |
« La vie meilleure, mode d'emploi »
in Courrier international. Hors-série, 029 (10/2009), 90 p.
Titre : | La vie meilleure, mode d'emploi (2009) |
Type de document : | Article : texte imprimé |
Dans : | Courrier international. Hors-série (029, 10/2009) |
Article : | 90 p |
Descripteurs : | cadre de vie / consommation d'énergie / déséquilibre écologique / développement durable / écologie / recyclage des déchets / relation homme-nature / vie quotidienne |
Résumé : | Préserver la planète pour les générations suivantes, partager les ressources, choisir au quotidien de nêtre ni maître ni esclave, comme le suggérait le poète Khalil Gibran, cest possible. Cest ce dont témoignent une multitude dinitiatives individuelles et collectives menées aux quatre coins du monde, dont la presse internationale se fait lécho. Partout des femmes et des hommes réinventent leur vie, transforment leur quartier, renoncent à la voiture ou en restreignent lusage, consomment autrement, travaillent moins et différemment. Et pas seulement parce quils y sont contraints par la récession. Cette crise de plus saccompagne dune prise de conscience. La parole, les idées, semblent libérées, comme le montrent des intellectuels tels que lAméricain Amitai Etzioni ou le Philippin Walden Bello. Et la solidarité, la gentillesse et la lenteur retrouvent toute leur place après avoir été reléguées au rang de niaiseries par des décennies dindividualisme forcené. Cet élan est-il voué à rester marginal ou annonce-t-il un changement en profondeur ? |
Nature du document : | documentaire |