Après Christchurch, les réseaux sociaux en accusation
In Le Monde (Paris. 1944), 23077 (22/03/2019), p.17,25,27 Etude du rôle des réseaux sociaux, en 2019, dans la diffusion de la vidéo du terroriste d'extrême droite australien, Brenton Tarrant, qui montre en direct son attaque contre les mosquées de Christchurch en Nouvelle-Zélande et la mort de dizaines de personnes : les critiques envers Facebook et YouTube qui n'ont pas supprimé immédiatement la vidéo et empêché sa diffusion ; le nombre de visionnages de la vidéo ; les motivations des internautes relayant ces images ; la modération des contenus haineux et racistes sur les réseaux sociaux relève de choix politiques ; le principe de fonctionnement des réseaux sociaux qui favorise la publication de contenus émotionnels forts pour générer de l'audience. Analyse sociologique de l'usage d'internet et de certaines plates-formes (forum 8chan, Facebook...) par des communautés extrémistes ; comment le Web favorise la radicalisation cumulative entre islamisme radical et extrême droite ; les politiques numériques à développer pour lutter contre l'extrémisme en ligne et la cyberviolence. Le point de vue de la rédaction sur l'urgence à limiter la diffusion de la haine et de la violence sur les principaux réseaux sociaux. |
« Après Christchurch, les réseaux sociaux en accusation »
in Le Monde (Paris. 1944), 23077 (22/03/2019), p.17,25,27.
Titre : | Après Christchurch, les réseaux sociaux en accusation (2019) |
Type de document : | Article : texte imprimé |
Dans : | Le Monde (Paris. 1944) (23077, 22/03/2019) |
Article : | p.17,25,27 |
Langues: | Français |
Descripteurs : | diffusion de l'information / réseaux sociaux (internet) / terrorisme |
Mots-clés: | cyberviolence / radicalisation violente |
Résumé : | Etude du rôle des réseaux sociaux, en 2019, dans la diffusion de la vidéo du terroriste d'extrême droite australien, Brenton Tarrant, qui montre en direct son attaque contre les mosquées de Christchurch en Nouvelle-Zélande et la mort de dizaines de personnes : les critiques envers Facebook et YouTube qui n'ont pas supprimé immédiatement la vidéo et empêché sa diffusion ; le nombre de visionnages de la vidéo ; les motivations des internautes relayant ces images ; la modération des contenus haineux et racistes sur les réseaux sociaux relève de choix politiques ; le principe de fonctionnement des réseaux sociaux qui favorise la publication de contenus émotionnels forts pour générer de l'audience. Analyse sociologique de l'usage d'internet et de certaines plates-formes (forum 8chan, Facebook...) par des communautés extrémistes ; comment le Web favorise la radicalisation cumulative entre islamisme radical et extrême droite ; les politiques numériques à développer pour lutter contre l'extrémisme en ligne et la cyberviolence. Le point de vue de la rédaction sur l'urgence à limiter la diffusion de la haine et de la violence sur les principaux réseaux sociaux. |
Nature du document : | documentaire |
Genre : | Article de périodique |