![]() |
Marine Big Five du Cap et Ten Jewels du KwaZulu Natal : A qui profite la nature bleue sud-africaine ?
de Emmanuelle Surmont In L'information géographique, 1-2019 (03/2019), p 9-39 Depuis la fin de lapartheid, les gouvernements successifs dAfrique du Sud ont impulsé une logique de valorisation touristique (et donc économique) des « espaces de nature ». Valorisation dabord terrestre, elle sest étendue, au début des années 2000, aux espaces littoraux et marins jusquà lactuelle Opération Phakisa promouvant lextension du réseau daires marines protégées (AMP). Cet article, à partir de létude de la Péninsule du Cap (Western Cape) et de la région de St Lucia (KwaZulu Natal) propose dinterroger le développement de lécotourisme littoral et marin dans deux aires marines protégées dAfrique du Sud : la Table Mountain National Park Marine Protected Area (TMNP MPA) et liSimangaliso Wetland Park (iSWP), hotspots du tourisme domestique et international. En ce qui concerne les activités dans ces AMP, le développement de lécotourisme est strictement encadré par un système de permis, qui restreint laccès aux prestations de nature à quelques opérateurs touristiques. Lattribution des permis comprend une forte composante de « Black Economic Empowerment » (BEE) et de valorisation des communautés, qui ne remet que partiellement en cause lhégémonie blanche sur le secteur touristique. |
Surmont Emmanuelle.
« Marine Big Five du Cap et Ten Jewels du KwaZulu Natal : A qui profite la nature bleue sud-africaine ? »
in L'information géographique, 1-2019 (03/2019), p 9-39.
Titre : | Marine Big Five du Cap et Ten Jewels du KwaZulu Natal : A qui profite la nature bleue sud-africaine ? (2019) |
Auteurs : | Emmanuelle Surmont, Auteur |
Type de document : | Article : texte imprimé |
Dans : | L'information géographique (1-2019, 03/2019) |
Article : | p 9-39 |
Descripteurs : | Afrique du Sud : République / industrie du tourisme |
Mots-clés: | éco-tourisme |
Résumé : | Depuis la fin de lapartheid, les gouvernements successifs dAfrique du Sud ont impulsé une logique de valorisation touristique (et donc économique) des « espaces de nature ». Valorisation dabord terrestre, elle sest étendue, au début des années 2000, aux espaces littoraux et marins jusquà lactuelle Opération Phakisa promouvant lextension du réseau daires marines protégées (AMP). Cet article, à partir de létude de la Péninsule du Cap (Western Cape) et de la région de St Lucia (KwaZulu Natal) propose dinterroger le développement de lécotourisme littoral et marin dans deux aires marines protégées dAfrique du Sud : la Table Mountain National Park Marine Protected Area (TMNP MPA) et liSimangaliso Wetland Park (iSWP), hotspots du tourisme domestique et international. En ce qui concerne les activités dans ces AMP, le développement de lécotourisme est strictement encadré par un système de permis, qui restreint laccès aux prestations de nature à quelques opérateurs touristiques. Lattribution des permis comprend une forte composante de « Black Economic Empowerment » (BEE) et de valorisation des communautés, qui ne remet que partiellement en cause lhégémonie blanche sur le secteur touristique. |
Nature du document : | documentaire |
Exemplaires (1)
Cote | Section | Localisation | Code-barres | Disponibilité |
---|---|---|---|---|
archives | Documentaire | CDI | 978220093245 | Disponible |